Attrape cette torche et allume mon bûcher Prends garde à mes mains baladeuses Pourtant tu aimais combattre avec moi, nous formions la FMA
Elle pleurait quand nous sommes morts Mais nous en voulait encore. Elle a hurlé: «je vous déteste mais ne peux vous quitter»
Ahhh... j'ai pris un remontant, L'humeur me vient, à bas les déserteurs Mort aux phallocrates, gloire à l'esthétique humide
Elle a hurlé: «je vous déteste mais ne peux vous quitter»
Attrape cette torche et allume mon bûcher Prends garde à mes mains baladeuses Pourtant tu aimais combattre avec moi, nous formions la FMA
Je briserai ta tronche comme une vague sur un rocher Défoncés jusqu'à la moelle et pleurant de rire on écrasera nos clopes contre ta peau puant l'essence
Mais à cette heure je suis enjoué; ma collection de dents de chat a fugué de mon armoire et pourtant j'ai le sourire... à croire que je suis dingue! Tous à vos pioches! Creusons dans la sale race!
J'ai mordu dans ma langue, c'est une sale entaille Je déguste la saveur du sang, une soupe de mes fluides
Tout gicle de mes orifices et remplit une baignoire Les rats d'égout se noient dans l'écoulement
Mais à cette heure je suis enjoué; ma collection de dents de chat a fugué de mon armoire et pourtant j'ai le sourire... à croire que je suis dingue! Tous à vos pioches! Creusons dans la sale race!