Guillaume Lancien : Ah, bonjour ma petite âme Delphine : Toi quand tu dis mon âme c'est toujours je le sais A mon corps que tu penses, penses, penses, penses, penses G : A toi et à ton corps que parfois j'imagine Quand sous ta robe légère ta beauté se devine D : Tu ne sauras jamais Tu ne sauras jamais après quoi je soupire Tu ne sauras jamais pourquoi j'aime sourire, rire, rire, rire, rire, rire Tu ne sauras jamais pourquoi j'aime danser Pourquoi j'aime passer mon temps, à rêvasser Pour toi je ne suis rien qu'une poupée de plus Je me demande encore ce qui en moi t'a plu Tu trouves mes propos plats et incohérents Que je sois triste ou gaie Te laisse indifférent Mais toi, tu tires au pistolet sur une boîte de peinture Crois-tu qu'une oeuvre d'art soit une tache sur un mur, mur, mur, mur, mur G : J'aime la peinture abstraite et ses éclaboussures Mieux vaut une tache bien faite Que n'importe quelle figure même s'il s'agit de toi D : Si tu tenais à moi comme la femme de ta vie Si tu m'aimais vraiment Autant que tu le dis, dis, dis, dis, dis, dis Quand tu m'as assez vue, soupirerais-tu En disant excuse-moi le temps c'est de l'argent Mais le temps mon ami pour moi c'est de l'amour C'est rire et c'est chanter tant que dure le jour C'est aimer chaque nuit que le seigneur a faite Le temps c'est de l'amour vivre c'est une fête Alors, alors n'espère pas devenir mon amant Tu mens lorsque tu parles de tes sentiments, ments, ments, ments, ments Reprends ta liberté et de fille en liaison Tu trouveras l'amour pour le prix d'un vison et puis tu m'oublieras G ; Pourquoi tout compliquer quand tout est si facile? D : Ton oeil s'allumera aux battements de cils, cils, cils, cils, cils S'il te plaît d'une fille à la voix de velours Qui prendra ton argent en te parlant d'amour Pardonne ma franchise et ma sincérité Quant au cœur si tu veux mettons-le de côté Evitons les amours aux lentes agonies Et disons gentiment toi et moi c'est fini, fini