"Mon beau tzigane, mon amant,
Écoute les cloches qui sonnent.
Nous nous aimions éperdument
Croyant n´être vus de personne.
Mais nous étions bien mal cachés,
Toutes les cloches à la ronde
Nous ont vus du haut des clochers
Et le disent à tout le monde.
Demain Cyprien et Henri
Marie Ursule et Catherine
La boulangère et son mari
Et puis Gertrude ma cousine
Souriront quand je passerai,
Je ne saurai plus où me mettre,
Tu seras loin, je pleurerai
J´en mourrai peut-être."
Que je meurre
Qui viennent à moi comme en été
Je crois qu'ils sont d'Apoliinaire
Paroles je n'en
Que n'en ai-je écrit de pareils
De la force de l'évidence
Pour les chanter à son oreille
Et le garder pour une danse.
Mon bel amour est en voyage
Et les aiguilles sont arrêtées
Il joue les rimes diu partage
Pour d'autres coeurs d'autres clochers.
Et moi je guette seule la chanson
Du carillon des avenirs
Quand les poètes refleuriront
Il pourra bien me revenir.
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