La chance qui m’a planté la.... Devait se moquer de moi.... Ou pas au fait de mon profil.... Elle m’a mis au cœur de la ville.... .. .. Moi qui ne rêve que de désert.... J’me débats dans la fourmilière.... Le soir elle se met à briller.... Je reste la à la regarder.... .. .. J’aime le printemps.... Je vis l’hiver.... J’bouffe du béton.... J’aime la mer.... J’voulais partir pour qu’ ça m’ libère.... Loin de la ville j’ai l’mal de mer.... .. .. Les coins des rues sentent la détresse.... Des vieux se payent des petites fesses.... Pour les gens seuls qui désespèrent.... Il y a toujours quelque chose d’ouvert.... .. .. La ville file devant mes yeux.... Les trottoirs s’ouvrent comme des plaies.... On la fait belle à coup de pieux.... Mais le soir je la reconnais.... .. .. J’aime le printemps.... Je vis l’hiver.... J’bouffe du béton.... J’aime que la mer.... J’voulais partir pour qu’ ça m’ libère.... Loin de la ville j’ai l’mal de mer .... .. .. Quand tout son stress me tord le foi.... Je pense aux strass aux rires du soir.... Les bus, les trottoirs et les bars c’est clair.... Sont une partie de moi.... .. .. Et lorsque je serais en ruine.... Que des bouts d’peaux tomberont de moi.... Je penserais à la vie sublime.... Sur le banc en bas de chez moi