alors tu vois, comme tout se mele et du coeur a tes levres, je deviens un casse-tete ton rire me crie, de te lacher avant de perdre prise, et d'abandonner car je ne t'en demanderai jamais autant deja que tu me traites, comme un grand enfant et nous n'avons plus rien, a risquer a part nos vies qu'on laisse de cote et il m'aime encore, et moi je t'aime un peu plus fort mais il m'aime encore, et moi je t'aime un peu plus fort c'en est assez de ces dedoublements c'est plus dure a faire, qu'autrement car sans rire c'est plus facile de rever a ce qu'on ne pourra, jamais plus toucher on se prend la main, comme des enfants le bonheur aux levres, un peu naivement et on marche ensemble, d'un pas decide alors que nos tetes nous crient de tout arreter il m'aime encore, et moi je t'aime un peu plus fort mais il m'aime encore, et moi je t'aime un peu plus fort mais il m'aime encore, et moi je t'aime un peu plus fort mais il m'aime encore, et moi je t'aime un peu plus fort encore, et moi je t'aime un peu plus fort mais il m'aime encore, et moi je t'aime un peu plus fort mais il m'aime encore, et moi je t'aime un peu plus fort mais il m'aime encore, et moi je t'aime un peu plus fort et malgre ca, il m'aime encore, et moi je t'aime un peu plus fort mais il m'aime encore, et moi je t'aime un peu plus fort