Il fut un âge, où j'etais jeune où j'étais belle. Sur mon visage, nous pouvions lire dans l'eternel. Dès à présent, j'ai pris du galon et le temps, depuis l'enfance est devenu femme, ça fait longtemps. J'ai dans la main, une larme qui roule comme une perle. Fameux destin: que d'être moi que d'être celle. Pour bien entendu que le meilleur reste à venir Je pose un Q et puis je me mets à réfléchir.
Assise là Où je revasse, je vois la vie en rose le temps qui passe et toutes ces belles choses qui nous surpassent mais qui laissent leur traces. Tu ne pensais pas laisser ta place penser à d'autres choses qu'aux gens qui passent, à leurs métamorphoses. Perdront-ils la face en nous cédant la place?
Bon débarras! ça déménage dans ma cervelle: là où deux bras je prie la terre je prie le ciel à voir d'ici, on prend peu de place face à l'ennui et c'est ainsi, depuis que mon coeur a rétréci. Oui, mais moi, je dis que c'est clair mais pas facile de jouer à ce jeu équilibriste, c'est pas mon style. Sans faire défaut, je suis heureuse et je l'assume. Et rien qu'un mot, écrit du poing et de la plume.
Assise là Où je revasse, je vois la vie en rose le temps qui passe et toutes ces belles choses qui nous surpassent mais qui laissent leur traces.
Tu ne pensais pas laisser ta place penser à d'autres choses qu'aux gens qui passent, à leurs métamorphoses. Perdront-ils la face en nous cédant la place?