Ça fait déjà des mois que t’es partie, me laissant seul Me voilà aujourd’hui devant toi, assis sur le sol Entre les fleurs, le marbre et toutes ces dalles sombres Je ne peux voir que ton prénom inscrit sur cette tombe La suite de ma vie, tu sais a tellement changé On dit que c’est ainsi et que le temps va me faire oublier Malgré les jours passés, je n’y arrive pas Et jour et nuit, je pense à toi
J’entends souvent ton rire, le son de ta voix J’ai même des souvenirs qui me reviennent des fois Les réalités, complicité du passé De tout ce que l’on a fait ensemble et que rien ne peut effacer Et pourtant, il y a ce sentiment de colère Qui m’envahit comme un aimant attiré par le fer Putain de maladie qui ne s’arrête pas J’n’étais pas là pour ton dernier combat
Je vais rester debout, continuer mon chemin À prendre encore des coups, ça va dépendre des lendemains Un jour tu m’as dit que la vie ressemble à un bouquin Qu’il y a le début, le milieu et bien sûr la fin C’est sûr, aujourd’hui je sais où j’en suis Je viens de finir le dernier chapitre de ta vie Tu peux partir en paix , toi seule avais raison Et rendez-vous sur l’Île d’Avalon
J’entends souvent ton rire, le son de ta voix J’ai même des souvenirs qui me reviennent des fois Les réalités, complicité du passé De tout ce que l’on a fait ensemble et que rien ne peut effacer Et pourtant, il y a ce sentiment de colère Qui m’envahit comme un aimant attiré par le fer Putain de maladie qui ne s’arrête pas J’n’étais pas là pour ton dernier combat