Le temps des mariages est incertain, J'ai perdu le langage que t'aimais bien. Pourtant tu me regarde avec tendresse, le couteau du quotidien nous blesse. Que les maris volage des jours lointain, on brûler leurs bagages, leurs meules de foin. Des poèmes en papier dans la corbeille, C'est déjà demain la veille.
Faut-il parler, parler de tout ce qui ne va pas. Ou bien se taire et puis chacun pour soi. Reprend ta vie moi je reprend la mienne, avant que les enfants reviennent. Faut-il chercher ce pays qu'on imaginais pas. Au fond de nous la force encore la foi. Sauver nos âmes se dire chéri je t'aime, faisons l'amour avant que la nuit nous prennent.
Nous sommes des otages au fond d'un train, avec cet héritages qui nous étain, comme des inconnus qui se connaissent. Le parfum des gens heureux nous laissent; A travers les grillages il y a nos mains, des oiseaux dans des cages de chagrin. On se crois différent on est pareil, c'est déjà demain la veille.
Faut-il parler, parler de tout ce qui ne va pas. Ou bien se taire et puis chacun pour soi. Reprend ta vie moi je reprend la mienne, avant que les enfants reviennent. Faut-il chercher ce pays qu'on imaginais pas. Au fond de nous la force encore la foi. Sauver nos âmes se dire chéri je t'aime, faisons l'amour avant que la nuit nous prennent.