comme ça m’a plu d’être géant un peu de contrôle à la dose ce sont mes mains pleines du volant de nos accidents que j’endosse
pour attendrir les glissements sonner l’alerte pour qu’elle fausse j’en ai fait de doux tremblements la poudre des gens qui explosent
d’entrée ou de sortie de matière polichinelle dans l’brasier à la paix comme à la guerre rien ne vaut mieux que tes jambes en l’air
cafard à fourmis de reins accusés de mes petites morts habillées de tes petits riens de grâce d’elles même je t’endors
adulé sans être vain bien au-dessus de ton corps le mien m’est revenu en main mais je n’en reviens pas encore
d’entrée ou de sortie de matière polichinelle dans l’brasier à la paix comme à la guerre à la ville comme à la mer
mieux vaut ne rien garder pour soi rien ne vaut mieux que la chance qu’on a mieux vaut ne rien penser trop bas rien ne vaut mieux que tes jambes en l’air