Silencieuse comme l’aspirine… Tu t’imprègnes de mon adn Comme de la naphtaline
Malheureuse, je t’imagine Quand même un peu plus digne… Nous ne sommes plus vraiement les mêmes À en croire les signes.
Je pleure ce qu’il reste de ma petite mort Ces quelques suées inodores… Je pleure ce qu’il reste de ma petite mort Je veux sourire quand je m’endors
Ambitieuses jolies ritournelles s’endorment Au fond du lit Consensuelles et au mépris De nos passerelles.
Je pleure ce qu’il reste de ma petite mort Mais j’y retournerai encore Je pleure ce qu’il reste de ma petite mort Je veux sourire quand je m’endors
Malicieuse au fond du Jean, magicienne… Comédienne qui voudrait tant faire mine Que ça revienne.
Je pleure ce qu’il reste de ma petite mort Ne faisons plus mentir nos corps Je pleure ce qu’il reste de ma petite mort Je veux sourire quand je m’endors