Matthieu Ladouce - Servante du feu [Sora no Woto] | Текст песни

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• Servante du feu [Sora no Woto]

Voudrais voir en ce monde quelque chose s’effacer, et que l’air soit plus pur, le cœur des hommes transformé?
Et pourtant tout est si fragile ici, sur la Terre.
Il n’y a rien qui soit futile, tu sais.
D’un côté, beau ou bon et même parfois prodigieux
Et de l’autre, laid ou pauvre et bien souvent monstrueux.
Qu’importe ce que ton cœur te dictera, souviens-toi que la différence naît dans tes yeux.
...
Chante toutes les couleurs du monde
Sans manque une seule note
Chaque chose a sa place ici
Chaque émoi forme la symphonie de notre vie.
Savoure l’harmonie du ciel
Vois que tout est essentiel
Et comprends que toi aussi tu en écris la mélodie
...
Voudrais-tu de ce monde pouvoir revoir l’écriture
Et choisir ses couleurs pour faire ta propre peinture ?
Prendre le bien, le mal et sans trier, accepter
Sans couvrir tes yeux, tout regarder
Joie et malheur ne font qu’un
Tout est dans le destin
Deux chagrinés un chagrin
Dans chaque voix, dans chaque petit bruit, vit l’infini

...

First part
Would you like to see in this world, something fading out, the air being purer, the heart of men transformed?
And yet, everything is so fragile here, on the Earth.
Nothing is futile, you know.
One the one hand, beautiful or good, and even sometimes prodigious (things).
On the other hand, unsightly or poor and often monstruous (things)
Whatever your heart will dictate you, remember that the difference was born in your eyes.
Chorus :
Sing all the colors of the world
Without missing a single tone
Each thing has its place here
Each emotion forms the symphony of our life.
Savor the harmony of the sky.
See that everything is essential.
And understand you too are writing its melody.
Second Part
Would you like, form this world, revise the scripture?
And chose its colors to make your own painting?
Taking the Good, the Evil, and without parting them, to accept (them):
Without covering your eyes, looking at everything.
Joy and misfortune are only one
Everything is in the fate.
Two people in sorrow, one sorrow.
In each voice, in each little noise, lives the infinite.