Je vous apostrophe en quelques strophes. Car ici bas, tout est catastrophe. De la pollution des mers, de l'air à celle de la terre. Trop peu en déblatére. Quelques uns ont tiré en l'air. Pour nous alerter du fléau de notre millénaire. Je pollue, tu pollues, nous polluons, vous polluez, ils polluent. Et c'est la terre qu'on tue. Je consomme, tu consommes, nous consommons, vous consommez, ils consomment. Chacun vit pour sa pomme et c'est le glas de la planéte qui tonne. Mais aucun changement de mentalité dans nos têtes ne détonne. Et ça t'étonne ? Est-ce la faute du système qui nous conditionne ? De la société et toutes ses normes ? A quel prix: Déforestation, desertification, fonte des glaciers et montée des eaux, galopante urbanisation. Combien d'espéces animales en voie de dispariton ? De l'ignorance à l'avarice. Nos chances de vivre sur cette terre encore des siècles s'amincissent. Pas la peine de jouer les petits écolos et se bricoler une bonne conscience pour se donner bon dos. Lourd est le fardeau, grave est le fléau. On est tous des badauds regardant Dame Nature monter à l'échaffaud. Malgré qu'en catastrophes climatiques, elle nous parle de ses maux. Et certaines grandes puissances étatiques Se permettent de penser qu'on est pas à un point critique. Sous pression de lobbies industriels et financiers ? Je m'étenderais pas sur le sujet de peur de m'égarer. Je viens simplement souligner notre mutisme effarant. Notre immobilisme effrayant face à ses faits préoccupants...