J'avais composé le tube de l'été Oui mais l'été n'est jamais arrivé Il a neigé tout le mois de juillet Et tout le monde était terrorisé Les gens n'avaient plus la tête à danser Ils ne pensaient plus qu'à leurs cheminées J'avais l'air con avec ma mélodie Pleine de soleil, et sans intempérie.
Hallucinantes sont nos humbles vies, Ultra violente la mélancolie, Triste variante de la nostalgie, Eclaboussante jusqu'à l'infini.
J'avais trouvé un super slow qui tue Oui mais l'amour avait tout disparu C'est le refroidissement de la planète Qui nous avait mis du plomb dans la tête Et comme on avait tous un masque à gaz Pour s'embrasser, c'était plus trop l'extase On pouvait même plus se saouler la gueule Alors on tirait tous un peu la gueule.
Hallucinantes sont nos humbles vies, Ultra violente la mélancolie, Triste variante de la nostalgie, Eclaboussante jusqu'à l'infini Fini la science et les vieux érudits Notre existence est menacée, tant pis Si le silence est notre thérapie Condoléances à tous les mariachis.
Hallucinantes sont nos humbles vies, Ultra violente la mélancolie, Triste variante de la nostalgie, Eclaboussante jusqu'à l'infini Fini la science et les vieux érudits Notre existence est menacée, tant pis Si le silence est notre thérapie Condoléances à tous les mariachis. Hallucinantes sont nos humbles vies, Ultra violente la mélancolie, Triste variante de la nostalgie, Eclaboussante jusqu'à l'infini.