Ce regard en ton doux visage, au-delà de tout m'agenouille Pourquoi faut-il que ton émoi soit d'un subtil goût Je dois souffrir, je crois, d'un terrible dédoublement Ma personnalité au travers de toi s'élève indubitablement Tu dépasses toujours d'une époque mes écrits Devancer tes caprices n'est que pur plaisir...infini
Tes phases misanthropiques sont en tous points les mêmes Celles de ne pouvoir mourir tant on aime...belle
Envie de mélodies, romanes ou pittoresques Ou l'amour d'une autre, n'est qu'amour avec soi-même J'entends ces symphonies chevaucher mon arc-en-ciel Ces suites de mélopées pour cymbales et aquarelles Pourquoi sous ce visage une voix enchanteresse résonne ? Pourquoi faut-il qu'un soir ma vie tu arraisonnes ?
J'ai cessé d'exister croyant en ta rencontre
Ce ne sont que chaudes larmes qui consolent ton manque Image figée de mes nuits de démence Cette nuit avec une femme, voluptueuse, condamnée à l'oubli En ton lointain exil je t'impose les cris Et la pudeur d'un désespéré
Je me fous bien de la vie, Des plaisirs et des cieux J'aime la folie de croiser tes yeux dans mes yeux
Ce regard en ton doux visage, au-delà de tout m'agenouille Pourquoi faut-il que ton émoi soit d'un subtil goût Je dois souffrir, je crois, d'un terrible dédoublement Ma personnalité au travers de toi s'élève indubitablement Tu dépasses toujours d'une époque mes écrits Devancer tes caprices n'est que pur plaisir...infini
Envie de mélodies, romanes ou pittoresques Ou l'amour d'une autre, n'est qu'amour avec soi-même J'entends ces symphonies chevaucher mon arc-en-ciel
Je me fous bien de la vie, Des plaisirs et des cieux J'aime la folie de croiser tes yeux dans mes yeux
Bonheur impossible, errante dépression De ne pouvoir étreindre son amante Suspecte et éphémère, la rencontre rêvée.