Prisonnier l'un pour l'autre, voilà bien dix ans que nos regard s'affrontent plus souvent que souvent Entre nous c'est l'alliance des sentiments chargés d'alcool du rhum dans nos silences
Et on prend notre envol car si nos bras se lassent des étreintes sans passion, c'est qu'il n'y a plus d'espace pour notre trait d'union
Alors j'ose plus rien dire alors j'redoute d'écrire tu sais les mots sont bien plus lourds qu'on croit Alors j'me force à rire Alors j'préfère mentir tu sais comme c'est fragile d'être heureux ou pas tu sais comme on a peur d'être oublié déjà
Prisonnier l'un pour l'autre, sans un fil qui nous tient sans plus se faire l'amour sans même joindre nos mains Le temps nous a frappé à grand coup de talons Le temps s'est arrangé pour flinguer la liaison
L'entends-tu mon amour murmurer nos prénoms? L'entends-tu s'acharner sur notre trait d'union?
Alors j'ose plus rien dire alors j'redoute d'écrire Tu sais les mots sont bien plus lourds qu'on croit
Alors j'me force à rire Alors j'préfère mentir Tu sais comme c'est fragile d'être heureux ou pas Tu sais comme on a peur d'être oublié déjà
Et s'il n'y a plus d'espoir que la suite sans tes yeux des clopes plein le cendar', je vieillirais pour deux
Alors j'ose plus rien dire Alors j'redoute d'écrire tu sais les mots sont bien plus lourds qu'on croit
Alors j'me force à rire Alors j'préfère mentir Tu sais comme c'est fragile d'être heureux ou pas Tu sais comme on a peur d'être oublié déjà