Pourvu Quelles Soient Douces Eh mec! Ton regard oblique En rien n'est lubrique Ta maman t'a trop fessé Ton goût du revers N'a rien de pervers Et ton bébé n'est pas fâche
Ton kamasutra A bien cent ans d'âge Mon Dieu que c'est démodé Le nec plus ultra En ce paysage C'est d'aimer les deux côtés
Ta majesté Jamais ne te déplaces Sans ton petit oreiller A jamais je suis Ton unique classe Tout n'est que prix à payer
Tu fais des Ah! des Oh! Derrière ton ouvrage Quand mon petit pantalon Debout et de dos Sans perdre courage Dénude tes obsessions
Tu t'entêtes à te foutre de tout Mais pourvu qu'elles soient douces D'un poète tu n'as que la lune en tête De mes rondeurs tu es K.O.! Tu t'entêtes à te foutre de tout Mais pourvu qu'elles soient douces D'un esthète tu n'as gardé qu'un «air bête» ... Tout est beau si c'est «Vue de dos» !
OK ! Prose ou poésie Tout n'est que prétexte Pas la peine de t'excuser Muse ou égérie Mes petites fesses Ne cessent de t'inspirer
Je fais des Ah! des Oh! Jamais ne me lasse Par amour pour un toqué Ne faut-il pas que Jeunesse se passe A quoi bon se bousculer ?