La capitale Me fait du mal! Elle s’amuse à me voir souffrir... Elle m’emprisonne, Puis m’empoisonne... Me joue des tours pour qu’j’aie le spleen!
Privée d’horizon, Je perds la raison Et tout les rêves qui me guident. Et c’est de la peine Qui coule dans mes veines, Qui met en scène Tous les regrets!
J’envoie des bons baisers de Paris ! Des jours fanés, Des nuits d’insomnies! Des maux, des bons baisers de Paris Du manque d’air sur papier jaunie...
Des ballons éclates, Par des griffes acérés Du peu d’amour, du peu d’amour… J’envoie du gout amer. Un désir sans mystère, Et peu d’amour, si peu d’amour…
J’ai peur des clones, Du train fantôme, De leur regards de condamné! Et où que j’aille Quand je déraille Je me sent toujours comme surveillée.
12 mois d’hivers, Un ciel sans lumières, Et plus d’étoiles pour m’épauler! Où ce cache la vie Qu’on m’avait promise ? Vers quel chemin se diriger ?
J’envoie des bons baisers de Paris ! Des jours fanés, Des nuits d’insomnies! Des maux, des bons baisers de Paris Du manque d’air sur papier jaunie...
Des ballons éclates, Par des griffes acérés Du peu d’amour, du peu d’amour… J’envoie du gout amer. Un désir sans mystère, Et peu d’amour, si peu d’amour…
La capitale me fait du mal… La capitale me fait du mal…