Paroles de la chanson Vois comme je t'aime : Je marche je cours je vole je crie Je m’accroche à la vie Mais toi reste devant Je lâche le cours d’un vol de cris Je tiens tant à la vie Mais toi tu passes avant Est-ce vraiment intelligent Je marche je cours je vole je crie Je t’accroche à ma vie Et toi reste devant Je lâche le cours d’un vol de cris Je te tiens dans ma vie Comme ça tu passes avant Est-ce vraiment intelligent Vois comme je t’aime c’est grand tu traverses le temps De mes heures blêmes en courant tu marches avec le vent Ça nous ramène souvent Vers ces soirs où nous serons les emblèmes De nos anciens désirs d’enfants Vois comme on sème un bonheur que les mots Ne sauraient dire tellement c’est haut Vois comme on sème du bonheur sur les maux Dont nous souffrions quand nos cœurs seuls prenaient l’eau Tu gâches l’amour que l’on s’écrit Tu me pourris la vie Mais je reste pourtant Je tâche d’être sourd quand tu t’écries Je te pourris la vie Mais tu restes pourtant Est-ce vraiment intelligent ? Vois comme je t’aime c’est grand tu traverses le temps De mes heures blêmes en courant tu marches avec le vent Ça nous ramène souvent Vers ces soirs où nous serons les emblèmes De nos anciens désirs d’enfants Vois comme on sème un bonheur que les mots Ne sauraient dire tellement c’est haut Vois comme on sème du bonheur sur les maux Dont nous souffrions quand nos cœurs seuls prenaient l’eau C’est vrai parfois que l’on s’entache De ces regards que l’on se crache C’est quand l’amour se fait trop lourd C’est vrai parfois que les bémols Se font venin dans nos paroles Même si l’amour est notre contour Et chaque jour je me le dis Tu me tiens par la vie Est-ce ça aimer vraiment ? Et chaque jour on se le dit Que nous c’est pour la vie Enfin j’aimerais vraiment Deviendrait-on intelligents ? Vois comme je t’aime c’est grand tu traverses le temps De mes heures blêmes en courant tu marches avec le vent Ça nous ramène souvent Vers ces soirs où nous serons les emblèmes De nos anciens désirs d’enfants Vois comme on sème un bonheur que les mots Ne sauraient dire tellement c’est haut Vois comme on sème du bonheur sur les maux
Dont nous souffrions quand nos cœurs seuls prenaient l’eau