Je sens cette douleur qui frappait nos parents Au temps des guerres et des prières En cent ans, l'orage aura sévi en versant Les pluies acides des âmes avides
De tout bon sens, s'écarte peu à peu la morale du temps Pour laisser la place au sang Fruit des combats et de la folie des grands Qui peu à peu nous rend tristement absents
Sûrement, l'orage aménera les survivants A croiser le fer comme leurs pères Mais pourtant, tellement de monde se croyait vigilant Et pensait tarir les pluies acides
De tout bon sens, s'écarte peu à peu la morale du temps Pour laisser la place au sang Fruit des combats et de la folie des grands Qui peu à peu nous rend tristement absents