Un moteur tremble, une route défile.
Un coeur à prendre, une roue qui pile.
Dans des cheveux du vent dessine
et sous des bleus ses yeux qui dealent.
Sur un volant des mains habiles,
conduite violon, 2 grammes dans l’jean.
Sous les néons, tunnel des villes,
lèvres violettes, sourire dans l’mille.
La ligne blanche la rend docile,
sixième dans le manche, deux cents tout pile.
Je ne crois pas que je t’aide
Baisser les armes c’est plus facile
dans un grand verre cassé au gin.
Comme un géant au bord du Nil,
chasser les larmes de crocodile.
Et sur ses joues couleur livide,
clouer de doux « bébés » fragiles.
Avec « dent-elle » est belle cette fille,
tendre levrette et pacotilles.
Je ne crois pas que je t’aide.
Je ne crois pas.
ODEZENNE еще тексты
Оценка текста
Статистика страницы на pesni.guru ▼
Просмотров сегодня: 1