une entaille sur ta taille
c'est sa main qui te mord
sous l'écorce sans force
c'est le souffle qui se tord
monotone à l'automne
une pensée qui se froisse
l'anathème d'un je t'aime
et jeté quoi que tu fasses
voles, loin de son ombre qui dort
sors
avant que ne succombe l'aurore
sa parure, son allure
un habit de circonstances
une ruse dénature
un ton plein de véhémence
au vent les toujours
amère cette amour
se perd à son tour
se terre
tu es reine, ton diadème
le fruit de ton élégance
la vénus, la déesse
en toi se meurt d'impatience
désenchaine cet hymen
ne chante plus ses louanges
que la rengaine de sa haine
à l'oubli se mélange
voles, loin de son ombre qui dort
sors
avant que ne succombe l'aurore
au vent les toujours
amère cette amour
se perd à son tour
se terre
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