Marchant sous l'arc-en-ciel pyramidal Qui divise la sphère en parts égales Des nuages symétriques s'effacent En une puissante couronne zèbrée de strass.
Frantz est mort dans le corps, dans le coeur De ceux qui ont voulu lui résister.
Nous sommes deux à vouloir le saisir Nous sommes quatre à le laisser partir Huit à le poursuivre enfin sur le port Frelons stridents striant l'espace sonore.
Des scories s'échappent des stores vénitiens Pour confondre ces touches nul n'est besoin De s'élancer sur l'espagnolette Froide et livide de dévotion secrète