Ils s’éloignent l’un de l’autre Dans une danse solennelle Vers les contrées nouvelles Et ténébreuses pendant que l’hôte La pluie secourable Lave sur leur visage Le sel amer de leurs larmes Figé depuis deux cents ans.
Ce chemin froid venté Qui court entre les immeubles Fait désormais ressortir Le noir brillant chapeau claque Des trottoirs, des rues Des places et des impasses Des trottoirs, des rues Des places et des impasses.