Je te salue, ô terre hospitalière Où le malheur trouva protection D'un peuple libre arborant la bannière Je vins fêter la constitution Proscrite hélas ! J'ai dû quitter la France Pour m'abriter sous un climat plus doux Mais au foyer a relui l'espérance En attendant en attendant je m'arrête chez vous. Allobroges vaillants ! Dans vos vertes campagnes Accordez-moi toujours asile et sûreté Car j'aime à respirer l'air pur de vos montagnes : Je suis la Liberté ! la Liberté !