Seul comme en exil Comme un naufragé sur son île Comme le funambule sur un fil
Seul parce qu’on a tout pris, parce qu’on a eu tort C’est se croire en vie même quand on est mort C’est abandonner sa chance à un autre Sans jamais pouvoir oublier sa faute Seul parce que l’amour a changé de camp C’est des cris de peine, mais qui les entend ?
Seul parce qu’on n’a pas su lire entre les lignes Qu’on n’a pas voulu regarder les signes Parce qu’on écouter sans jamais le croire Quand l’amour s’en va c’est toujours trop tard Seul c’est une nuit qui n’en finit pas C’est une « elle » sans « lui », c’est un « toi » sans « moi »
Seul comme un équilibre Seul prisonnier parce qu’on est libre Seul comme une histoire sans son livre
Seul parce qu’on a tout pris, parce qu’on a eu tort C’est se croire en vie même quand on est mort C’est abandonner sa chance à un autre Sans jamais pouvoir oublier sa faute Seul parce que l’amour a changé de camp C’est des cris de peine, mais qui les entend ? Seul parce qu’on n’a pas su lire entre les lignes Qu’on n’a pas voulu regarder les signes Parce qu’on écouter sans jamais le croire Quand l’amour s’en va c’est toujours trop tard Seul c’est une nuit qui n’en finit pas C’est une « elle » sans « lui », c’est un « toi » sans « moi »
Seul qui n’a jamais été seul Seul, ma place à ceux qui la veulent
Seul comme un condamné devant l’échafaud Comme un innecent devant son bourreau Seul comme un enfant qui cherche son père Seul comme le mendiant qui s’endort à terre Parce qu’on a passé sa vie sans la voir On se trouve seul devant son miroir
Seul parce qu’on a tout pris, parce qu’on a eu tort C’est se croire en vie même quand on est mort C’est abandonner sa chance à un autre Sans jamais pouvoir oublier sa faute Seul parce que l’amour a changé de camp C’est des cris de peine, mais qui les entend ? Seul parce qu’on n’a pas su lire entre les lignes Qu’on n’a pas voulu regarder les signes Parce qu’on écouter sans jamais le croire Quand l’amour s’en va c’est toujours trop tard Seul c’est une nuit qui n’en finit pas C’est une « elle » sans « lui », c’est un « toi » sans « moi » Seul comme un condamné devant l’échafaud Comme un innecent devant son bourreau Seul comme un enfant qui cherche son père Seul comme le mendiant qui s’endort à terre Parce qu’on a passé sa vie sans la voir On se trouve seul devant son miroir Seul