Dignes, belles Elles tournent sur elles-mêmes Les rides creusées Les larmes n'ont pas seché Elles dansent sans bruit Leurs enfants disparus Disparus dans la nuit Leurs enfants perdus
Sur les terres de Piazzolla Muets sont les poètes A moins de parler bas Mais, dans le clair-obscur A l'heure de tous les rêves Soudain, une voix s'eleve...
Nunca mas Nunca dormir, y nunca dejar olvidar Bailar al viento que los desaparecio... La sangre nunca acaba de gritar El viento siempre acaba por cambiar
Folles, elles dansent Elles ont vaincu l'oubli Elles savent la force Qui jamais ne les trahit L'histoire est lente Mais elles la font tourner Ce soir, elles chantent Les diables sont juges...
Nunca mas Nunca dormir, y nunca dejar olvidar Bailar al viento que los desaparecio... La sangre nunca acaba de gritar El viento siempre acaba por cambiar