Il m’a dit: “Je t’en prie, dis moi si… Tu sens ton jardin grandir. Contre moi, tu seras, la dernière âme à souffrir” Un sourire, un soupir, ces pétales étouffent mes larmes “Il est l’heure, j’en ai peur, cette fleur déjà se fane”
L’efflorescence commence, témoin de votre rancune Je peine à respirer… Cette magie me consume Une ombre m’offre sa main, mais je n’ose (pas) la prendre Ne pouvant me comprendre…
...Il m’a dit: “Je t’en prie, dis moi si… Tu sens ton jardin frémir. Contre moi, tu seras, la dernière âme à souffrir” Un sourire, un soupir, ces pétales étouffent mes larmes “Il est l’heure, j’en ai peur, cette fleur déjà se fane”
Ces chemins infinis, de (bourgeons) sont parsemés Laissée seule dans ce combat, qu’un ami a déserté Peut’être m’a-t-il aimée lorsqu’il m’a prit par la main Il tente de comprendre, enfin...
(Sans) ...Je t’ai dis: “Je t’en prie, ma chérie, Sens-tu ton jardin guérir ? Restes-là, contre moi, Sans toi je ne sais où m’enfuir Un soupir, un sourire, ces pétales dévorent ton âme “Encore une fois, ça ira… La bonté triomphera ! ”
“Je t’en prie, dis moi si… Tu sens ton jardin périr ? Ne pars pas ! Ne sois pas… la dernière âme à sourire” Je murmure, mes blessures ne me prive pas d'espérer “Ouvres la voie… Pardonnes-moi, enfin vous serez libérés ”