Par delà la nuit Par delà les vents glacés furieux et les crevasses sans fonds Par delà la peur de l'entendement humain Sur la terre immobile au milieu des eaux En haut, sur la montagne à la cime blanche éternelle Le regarde d'acier irradiant la grandeur olympienne du cycle arctique primordial Par le marteau de Thor, sur l'enclume de la Race, L'ancêtre divin forgea en lettres de soleil et de feu, notre destin, pour l'éternité Qui coule dans nos veines et dont la pureté est sacrée