Tiens moi bien la main Héloïse, tiens bien celle de ta mère aussi Chose dûe, chose promise tu voulais Venise la voici Sur la lagune aux eaux si grises une escapade improvisée nous sommes partis sans valise Certains diront qu’on s’est sauvé
Dans cette ville banquise résonnent nos pas, y’a des cités qui s’amenuisent mais l’amour pas
Et dans le jour qui s’éternise on se croirait au carnaval moi le Pierrot vous les Marquises vous si belles et moi si pâle La source à laquelle je puise et qui jamais ne se tarit, coule à vos lèvres aux cerises quand l’une chante et l’autre rit
Dans cette ville banquise résonnent nos pas y’a des cités qui s’amenuisent mais l’amour pas
Tiens moi bien la main ,Héloïse serre la aussi fort que tu peux est ce que comme moi tu réalises ce qu’il se joue devant nos yeux
il y a ces choses qui s’enlisent et celles qui éternellement teindront comme tu tiens, Héloïse ma main et celle de ta maman
Dans cette ville banquise résonnent nos pas y’a des cités qui s’amenuisent mais l’amour pas
Dans cette ville banquise résonnent nos pas y’a des cités qui s’amenuisent mais l’amour pas En savoir plus sur http://www.paroles.net/renaud/paroles-heloise#tXzbWab1wWEWfKxj.99