Les choses ne sont jamais, Ce qu’on voudrait qu’elles soient Juliette maintenant tu sais, Ce que je savais déjà Et tu pleures tu pleures ma fille ma soeur Je porte ta douleur
Dieu, que les hommes, sont durs Que les hommes, sont sûrs d’eux Oh ! Dieu, que les hommes, sont durs Que faut-il donc qu’on fasse Pour que tu nous accordes ta grâce Dieu toi qui nous a mis sur la terre Pourquoi nous forcer à nous taire Et regarder mourir les hommes
Le Prince en te chassant T’a sauvé, le sais-tu On réclamait ton sang Le sang d’un Montaigu Et toi pauvre petit perdu Toi tu ne comprends plus
Oh Dieu, que les hommes, sont durs Que les hommes, sont sûrs d’eux Oh Dieu, que les hommes, sont durs Que faut-il donc qu’on fasse Pour que tu nous accordes ta grâce Dieu toi qui nous as mis sur la terre Pourquoi nous forcer à nous taire Et regarder, mourir les hommes
Dieu, que les hommes, sont durs Que les hommes, sont sûrs d’eux Oh Dieu, que les hommes, sont durs Que faut-il donc qu’on fasse Pour que tu nous accordes ta grâce Dieu toi qui nous as mis sur la terre Pourquoi nous forcer à nous taire Et regarder mourir les hommes
Dieu, que les hommes, sont durs Que les hommes, sont sûrs d’eux Oh Dieu, que les hommes, sont durs Que faut-il donc qu’on fasse Pour que tu nous accordes ta grâce Dieu toi qui nous as mis sur la terre Pourquoi nous forcer à nous taire Et regarder mourir les hommes