J’attendrai s’il le faut Que tu te sois grisée De mille délices Et si tu tombais de haut Après t’être brûlée À quelque maléfice Je serai là Pour poser un baiser Sur tes cicatrices
J’attendrai s’il le faut Que tu vives d’autres vies À ta démesure Toi qui es comme l’eau Toi qui es poésie Et immensité pure De ciel et de mer Toi qui poursuis tes rêves Au vent de l’aventure
C’est le temps qui décrète Qui reste et qui s’en va Tu es là dans ma tête Tu ne me quittes pas Le souvenir du soleil Peut encore vous brûler J’ai le cœur au chaud pareil Car je t’ai rencontrée
Le souvenir du bonheur Est encore du bonheur
J’attendrai s’il le faut De mirage en miroir Dans l’espace indicible Au bord de ce chaos Où la raison s’égare Là où tout est possible Mais les certitudes rares Qu’une vague te ramène Sur le quai du départ
C’est le temps qui décrète Qui reste et qui s’en va Tu es là dans ma tête Tu ne me quittes pas Le souvenir du soleil Peut encore vous brûler J’ai le cœur au chaud pareil Car je t’ai rencontrée
Le souvenir du bonheur Est encore du bonheur Le souvenir du bonheur Est encore du bonheur