Tu t'en vas, ma pauvre amourette, tu t'en vas, ne s'aimait-on pas ?
Car la mer a bercé tant d'amour dans le creux de ses vagues Le temps d'un été Mais l'été en partant a laissé sur le sable mouillé Tant de rêves oubliés
Un bout de ciel et un coin de dune, un goût de sel sur ta peau brune Et l'été qui nous ensorcelle, en été, méfie-toi la belle
Car la mer a bercé tant d'amour dans le creux de ses vagues Le temps d'un été Mais l'été en partant a laissé sur le sable mouillé Tant de rêves oubliés
On cueille l'été à fleur d'insouciance Jamais l'été au chagrin ne pense Mais tu pleureras petite fleur des plages Quand l'été chantera sur notre rivage
Car la mer a bercé tant d'amour dans le creux de ses vagues Le temps d'un été Mais l'été en partant a laissé sur le sable mouillé Tant de rêves oubliés Car la mer a bercé tant d'amour dans le creux de ses vagues Le temps d'un été Mais l'été en partant a laissé sur le sable mouillé Tant de rêves oubliés