Ca t'fait d'la peine, mon pauvre Leon. T'es plus le même depuis Manon. Pourtant t'es pas, l'dernier des cons, tu sais très bien qu'elle a raison ! T'as plus ta tête, depuis Manon ! Ouvres les fenêtres à la raison ! Oubli, Leon, Manon, c'est non ! Tu t'passerais bien, de ma chanson. Je vois qu'elle puise dans ton violon. y'a du cachton dans ton frigo, faut qu'tu t'arrêtes ça sent pas bon ! Il s'pourrait bien, mon pote Leon, et puis perpet', putain, c'est long, dans l'ascension de ces emotions. Il s'pourrait bien que les garçons, n'apprênes pas bien leurs leçons. Et se retrouve, un beau matin, largé en courte séparation. Ou bien peut-être que les garçons, ont une quequette dans leur citron. Qui fait la tête sans lui il ment. Ou bien peut-être que les garçons, ont une quequette qui cache au fond, des kilomètres d'émotions ! Mais le temps passeras sous le pont, le coeur se lasse un jour, Leon ! Et les Amours ainsi s'en vont...