S'il est vrai, Chloris, que tu m'aimes, Mais j'entends, que tu m'aimes bien, Je ne crois point que les rois mêmes Aient un bonheur pareil au mien. Que la mort serait importune De venir changer ma fortune A la félicité des cieux! Tout ce qu'on dit de l'ambroisie Ne touche point ma fantaisie Au prix des grâces de tes yeux.
If it be true, Chloris, that thou lovst me, And I understand that thou dost love me well), I do not believe that even kings Could know such happiness as mine. How unwelcome death would be, If it came to exchange my fortune With the joy of heaven! All that they say of ambrosia Does not fire my imagination Like the favour of thine eyes.