La mort s’embrume, victoire de la Lune Etre vivant et vision nocturne Elle m’attire dans le tragique Démence onirique.
Le maléfice me tient sous sa volonté Etend son emprise dans mes pleurs esseulés L’égérie nocturne tend sa main diaphane Vers le chemin des âmes.
Tous ces enchantements, je transcende Mon être, en son sein, empli de cendres Qui brûlent l’âme de mon âme démente Nature mal aimante
La lueur des rêves enfouis brise l’écorce Et mes racines désertées de force. Les branches se figent dans le froid De l’étreinte glacée de ses doigts...