Oeil à la lueur de pierre, par l’éclat du rocher puissant Deuil de l’indolente terre, que sonne le glas, que tonne le sang Bras à l’insolente danse, lapide donc cet art funèbre Les doigts sont serpents, la peau s’émeut bois de ténèbres Les yeux de la forêt s’éveillent dans la magie Les arbres de leurs mains entonnent avec furie Doux refrains menés par la sève nue Danceries hautaines fustigées de vertu.