Parfois je vois le détail, qui te gène. Et j'en écris des tirades, des poèmes. Poussent souvent sur ma langue des aiguilles affûtées, sans effet boomerang, boom je vais te piquer. C'est un peu la chanson de l'amoureux, du mecton, qui tua par amour et se retrouve en prison. Que des bons, que des bons, que des bons, que des bons, que des bons sentiments, dans le fond, dans le fond, dans le fond, moi je n'ai rien de méchant. Et tu le sais dis, et tu le sais dis, moi que tu sais que derrière toutes ces conneries, ce n'est jamais dis, pour te blesser dis, ce n'est que parce que je t'aime que je te châtie. Parfois je teste ton rire, je dis n'importe quoi, si ça ne te fait pas sourire, j'ai manqué ma proie. Le daltonien te dira que la pelouse est bleue. Moi pour te dire que j'aime bien je m'écries c'est hideux, et penseras tu maintenant lorsque tu m'entendras, te charrier mon enfant c'est parce que j'ai pour toi… Que des bons, que des bons, que des bons, que des bons, que des bons sentiments, dans le fond, dans le fond, dans le fond, moi je n'ai rien de méchant. Que des bons, que des bons, que des bons, que des bons, que des bons sentiments, dans le fond, dans le fond, dans le fond, moi je n'ai rien de méchant. Et tu le sais dis, que tu le sais dis, moi que derrière toutes ces conneries, ce n'est jamais dis, pour te blesser dis, ce n'est que parce que je t'aime que je te châtie. Et tu le sais dis, que tu le sais dis, moi que derrière toutes ces conneries, ce n'est jamais dis, pour te blesser dis, ce n'est que parce que je t'aime que je te châtie. Parfois je vois le détail, qui te gène, et j'en écris des tirades, des poèmes. Parfois je teste ton rire, je dis n'importe quoi, si ça ne te fait pas sourire, j'ai manqué ma proie. Et tu le sais dis, que tu le sais dis, moi que derrière toutes ces conneries, ce n'est jamais dis, pour te blesser dis, ce n'est que parce que je t'aime que je te châtie.