[Couplet 1 : VII puis Littledemo] Je t'épie dans le noir, une lame dans la manche Avec un entonnoir tu avales ma semence Le couteau de cuisine s'enfonce entre tes cotes J'ai des bouts de cervelle sur le cuir de mes bottes Dans mon impuissance ma lame est un phallus Me nourris des organes de ces femmes dont j'abuse Je suis le serviteur de la bête sacrée Comme Richard Ramirez la nuit je vous traquerais Je me sens tout puissant, votre vie je détruits Vidés de votre sang, vous gigotez comme des truies Tu répands tes entrailles quand tu rampes sur le sol Je t'attrape par le col puis ton cou je l'entaille
Mon holocauste est bleu, se compte en hectolitres Car les salopes aiment s'agiter sur de la Tecktonik Méthodique je t'emmène dans un taudis Et lacère ton clitoris sur un air mélodique Étouffé par le sang, la gueule dans la bassine Car chez moi les pissenlits se bouffent par la racine T'assassine avec un sécateur J'ai la tête de ta sœur cachée dans mon congélateur Prédateur sexuel, dans le meurtre j'excelle Fais gicler ta cervelle sur ton polo XL Les emcees m'excèdent, un couteau, de la ficelle Et je filme leurs snuffs sur mon site officiel
[Refrain : VII puis Littledemo] Des cris de détresse dans des soirées brûlantes Et mon rasoir caresse ta poitrine opulente Et si tu bavardes je te perfore le corps Moi et Francis Heaulme, on s'occupe de ton sort
Dans la nuit qui te glace tu connaîtras bientôt "Les frissons de l'angoisse" de Dario Argento Une lame qui scintille au milieu des ténèbres Pour un style funèbre tout droit sorti d'un Giallo
[Couplet 2 : VII puis Littledemo] Je déverse ton sang dans des ruelles puantes Ma lame en acier plantée dans ton bas ventre Je t'expose, les pervers se régalent Racole ou je t'explose à la Steven Seagal Une souffrance atroce, ta mâchoire se décroche C'est la mort qui te fauche au détour d'un coupe-gorge Comme le Docteur Lecter, c'est ta chair que j'avale Je te plonge dans la peur comme dans les Mario Bava Ton visage angélique sous la lame d'un scalpel C'est Ève Angeli chez des maniaques sexuels Tu meurs d'une mort lente dans ces rues sans couleur Ce soir je savoure tes gémissements de douleur
Les murs ont des oreilles, la colline a des yeux Et mon sous-sol empeste comme les sous-vêtements des vieux Le malin fait ses vœux et moi je les exauce Lorsque c'est dans vos torses que je viens planter des pieux T'as la gueule d'un lépreux, ta peau se décolle Je te guette comme un pervers à la sortie d'une école Comme Joe Spinell j'ai scalpé ta crinière Absorbé ton sang, gobé ta moelle épinière Un freestyle sanguinaire, moi je te surine Te force à boire mon urine dans un verre en cristal Et je te poignarde le pubis et le vagin Je veux que tu subisses comme dans un bisse italien