Je me réveille le matin, je ne me sens pas très bien, je voudrais vomir, mais à quoi bon, mon pot est déjà plein. Mes ongles sont en broussaille, mes cheveux en écaille, je voudrais vomir, à quoi bon j'attendrai les nuages qui vont effacer mon beau teint, c'est dur à supporter quand on est fou comme dieu.
Et je souffle dans mes fenêtres, elles se transforment en bulle de verre, elles vont se promener dans le ciel, elles vont se promener dans le ciel.
Et si la mort vient pour me chercher, je resterai là inanimé avec le plus grand des sourires. Et si la mort vient pour me chercher, je resterai là inanimé avec le plus grand des sourires.
Je pleure en délire tous mes déséquilibres. Dans mon ... alarme, les pixels de larmes, les lames de couteaux, les fêtes de l'âme, les sirènes du sang qui annoncent la venue de la mort, la venue de la mort.
C'est sans doute les nuages qui ont effacés mon beau visage, c'est dur à supporter quand on est fou comme dieu.
Mais j'ai lancé dans les airs des confettis de sang, tous mes murs te le diront.
Et si la vie revient me chercher, je lui cracherai dans le visage de la rage de ces jours où elle m'a laissée pleurer.
Sourire Sourire
Avec le temps qui court, avec le temps qui passe, j'ai compris que ma tête était dans une impasse, que mon cur était un labyrinthe et que mon corps était sans pantin.
Avec le temps qui court, avec le temps qui passe, j'ai compris que ma tête était dans une impasse, que mon cur était un labyrinthe et que mon corps était sans pantin.