Quelquefois je sens les mystères De toutes les choses que je comprends mal Comme si j’étais toute seule sur terre À rechercher un idéal Quand l’amour le plus fou de la Terre Se débat dans une odeur de fin Je dis que c’est ça la vraie misère Je dis que le temps est assassin Et je veux plus rien Je veux plus rien du tout
Je veux plus d’amour, même rebelle Je veux plus d’amour même si j’étais celle Qui regardait, tendre et cruelle Faner les amoureux quand j’étais belle Je veux plus d’amour, Monsieur J’ai brûlé mes maîtres Et amoureuse, j’ai peur de l’être Pour avoir vu, sombre et cruelle Faner les merveilleux faiseurs de rêves Et mourir les tendresses déçues
Quand je vois toutes les colères Que l’on encaisse et que l’on subit Je dis que l’amour c’est comme l’enfer Je dis que sa force est dans sa lie Et j’aurai beau tout faire et refaire Je serai seule et sans lendemain Pour moi c’est ça la vraie misère Je dis que le temps est assassin Et je veux plus rien Je veux plus rien
Je veux plus d’amour, même fidèle Je veux plus d’amour même si j’étais celle Qui regardait, tendre et cruelle Faner les amoureux quand j’étais belle Je veux plus d’amour, Monsieur J’ai brûlé mes maîtres Et amoureuse, j’ai peur de l’être Pour avoir vu, sombre et cruelle Faner les merveilleux faiseurs de rêves Et mourir les tendresses déçues
Et pourtant, comme toujours Je me dis « Allez, allez Je suis bien trop forte Pour en avoir assez Et encore et toujours Je veux vouloir aimer Je veux vouloir aimer »
Quand l’amour le plus fou de la Terre Se débat dans une odeur de fin Je dis que c’est ça la vraie misère Je dis que le temps est assassin Et je veux plus rien Je veux plus rien du tout
Non, je veux plus d’amour, même rebelle Je veux plus d’amour même si j’étais celle Qui regardait, tendre et cruelle Faner les amoureux quand j’étais belle Je veux plus d’amour, Monsieur J’ai brûlé mes maîtres Et amoureuse, j’ai peur de l’être Pour avoir vu, sombre et cruelle Faner les merveilleux faiseurs de rêves Et mourir les tendresses déçues