Tu lisais des bouquins de Sade Et lentement tu tournais les pages Lente puissance qui crée ta cage Tu regardais toutes ces images
Devant les montagnes, les mirages Du lac d’Annecy, Annecy, oh oh oh Et ses étranges reflets de jade Comme y en a par ici, par ici
Et dans ton coeur, tu cries ta rage Mais ton coeur c’est une marmelade Due à tes affreux dérapages Et tu n’en es jamais malade
Et tous tes amours d’hiver reviennent Au lac d’Annecy, Annecy, oh oh oh Mais tu es seul à part entière Et je dis « Dieu merci, Dieu merci »
Oh mon ange T’as plus de plumes que moi Et tu chantes L’envers et l’endroit Oh mon ange J’ai mon enclume à moi Et on flanche Quand tu nous survoles tout bas
Et dans ton monde de mascarade Tu rendrais toutes les choses fades Avec les hommes qui t’ont servi Faux sentiments, pauvre parade
Et ça t’a rendu trop bizarre Et tu es fan de lui, fan de lui Pauvre de lui Ça t’a rendu trop bizarre Et tu l’es toute la nuit, toute la nuit
Oh mon ange T’as plus de plumes que moi Et tu chantes L’envers et l’endroit Oh mon ange J’ai mon enclume à moi Et on flanche Quand tu nous survoles tout bas
Je pardonnerai tous ses langages Avec une haine sans ambages Dans une cour qui rit de lui Avec une femme qui le maudit
J’hériterai de tous ses naufrages Et je dis « allez, allons y, allons y » Je partirai sans mes bagages « Allez, et allons y, allons y »
Devant les montagnes les mirages du lac D’Annecy, Annecy, oh oh oh Et ses étranges reflets de jade Comme y en a par ici, par ici
Devant les montagnes les mirages du lac D’Annecy, Annecy, oh oh oh Et ses étranges reflets de jade Comme y en a par ici, par ici