Il y a des jours où, quand le jour se lève, On voudrait rentrer tout au fond d'un rêve Et puis, soudain, lorsque le clocher sonne, Il y a des jours où l'on n'est plus personne.
Alors, on ferme les yeux un instant. Quand on les rouvre, tout est comme avant. Les gens vous voient et leur regard s'étonne. Il y a des jours où l'on n'est plus personne.
Comme au milieu d'un cinéma désert, On rembobine et tout passe à l'envers Et quand on pense aux gens qu'on abandonne, Il y a des jours où l'on n'est plus personne.
Ouvrir son cœur à tous les vents qui passent, Et, qu'un matin, tous les chagrins s'effacent Pour oublier, dans le bonheur qu'on donne, Qu'il y a des jours où l'on n'est plus personne,
Qu'il y a des jours où, quand le jour se lève, Ou voudrait rentrer tout au fond des rêves Et s'endormir lorsque le clocher sonne. Il y a des jours où l'on n'est plus personne.