Lorsque je t’ai regardé tout droit dans les pupilles, T’as détourné les yeux. T’as pas dû voir dans ce regard tout l’amour qu’il y’a pour toi, mon amour
Mon amour, je t’aime Mon amour je t’aime quand même Mon amour, je t’aime Mon amour je t’aime quand même
Lorsque je t’ai pris la main, tu m’as regardé en coin Et tu m’as ris au nez Je n’avais pas l’air malin, mais, au fond, c’est bien fait, J’étais folle d’oser
Mon amour, je t’aime Mon amour je t’aime quand même Mon amour, je t’aime Mon amour je t’aime quand même
Lorsqu’au bout du combiné j’ai entendu ta voix, J’ai pas osé moufeter, J’avais trop peur que tu raccroches, que tu m’envoies valser Je l’aurai pas volé
Mon amour, je t’aime Mon amour je t’aime quand même Mon amour, je t’aime Mon amour je t’aime quand même
Lorsque je t’ai suivi au sortir d’un café, jusqu'à ton escalier, Tu t’es retourné, t’as rien dit, tu m’as regardé de haut Et puis t’es reparti
T’es reparti et je suis restée seule Seule avec cet air Avec cet air, qui me ronge la tête, à défaut du cœur
Mon amour, je t’aime Mon amour je t’aime quand même Mon amour, je t’aime Mon amour je t’aime quand même
Lorsque j’aurai compris que tu ne m’aimes pas, que tu n’existes pas je me jetterai par la fenêtre après t’avoir écrit une dernière lettre
Mon amour, je t’aime Mon amour je t’aime quand même Mon amour, je t’aime Mon amour je t’aime quand même
quand même quand même quand même quand même quand même quand même