Un après-midi de congé (J. Baurin) (in "Compilation 2004")
Il était bien midi et quart Lorsqu'elle quitta le grand sablon Elle risquait fort d'être en retard Et elle maudit son vieux patron
C'était une rousse, une authentique De ces raretés dont la peau claire Obstinément faisait la nique Aux plus bronzants des bancs solaires.
Si tu m'aimes encore Dis-moi, redis-les moi, Ces mots en or Sans crainte ni remord
si tu m'aimes toujours Dis-moi, redis-les moi Ces mo Sans crainte ni remord
Il était bien midi et quart Lorsqu'elle quitta le grand sablon
Elle marchait Mais elle
Говоришь, что любишь Sans crainte, ni remord
Sans crainte ni remord
Rue d'l'hôpital à toute allure Le feu aux joues le coeur battant, Sans se soucier trop des voitures, Elle traversa la place Saint-Jean Sans crainte ni remord.
Si tu m'aimes encore Dis-moi, redis-les moi, Ces mots en or Sans crainte ni remord.
Si tu m'aimes toujours Dis-moi, redis-les moi, Ces mots Sans crainte ni remord
Elle risquait fort d'être en retard Et elle maudit son vieux patron
Ses petits seins qui tressautaient Firent le bonheur rue du lombard De deux ados buveurs de lait, D'un maghrébin et d'un motard.
Говоришь, что любишь Sans crainte ni remord Что не позабудешь Sans crainte ni remord
c'est dans la rue des teinturiers qu'elle s'arrêta une première fois just le temps tout essoufflée de bichonner son frais minois Sans crainte ni remord.
C'éait une rousse, une autentique
En arrivant rue des riches claires Elle rajusta sa robe d'été En défroissa l'étoffe légère Approfondit son décolleté
Il l'attendait un peu plus loin Celui qui lui ferait l'amour Celui qui le faisait si bien Son bel amant, son beau de jour.
Sans crainte, ni remord.
Rues saint-géry puis de borgval L'hôtel de passe se trouvait là, Au 42, vue sur les halles 1er étage prenez la 3.