Votre toast, je peux vous le rendre, Señor, señors car avec les soldats Oui, les Toreros, peuvent s'entendre ; Pour plaisirs, pour plaisirs, Ils ont les combats ! Le cirque est plein, c'est jour de fête ! Le cirque est plein du haut en bas ; Les spectateurs, perdant la tête, Les spectateurs s'interpellent à grand fracas ! Apostrophes, cris et tapage Poussent jusqu'à la fureur! Car c'est la fête du courage! C'est la fête des gens de coeur! Allons ! en garde ! Allons ! Allons ! ah ! Toréador, en garde ! Toréador, Toréador ! Et songe bien, oui, songe en combattant Qu'un œil noir te regarde, Et que l'amour t'attend, Toréador, L'amour, l'amour t'attend ! Et songe bien, oui, songe en combattant Qu'un œil noir te regarde, Et que l'amour t'attend, Toréador, L'amour, l'amour t'attend ! Tout d'un coup, on fait silence... on fait silence... Ah ! que se passe-t-il ? Plus de cris, c'est l'instant ! Plus de cris, c'est l'instant ! le taureau s'élance En bondissant hors du Toril ! Il s'élance ! Il entre, Il frappe ! un cheval roule, Entraînant un Picador, Ah ! bravo! Toro ! Hurle la foule ! Le taureau va, il vient, il vient et frappe encore ! En secouant ses banderilles, Plein de fureur, il court ! Le cirque est plein de sang! On se sauve, on franchit les grilles ! C'est ton tour maintenant ! allons ! En garde ! allons ! allons ! Ah ! Toréador, en garde ! Toréador, Toréador ! Et songe bien, oui, songe en combattant Qu'un œil noir te regarde, Et que l'amour t'attend, Toréador, L'amour, l'amour t'attend ! Et songe bien, oui, songe en combattant Qu'un œil noir te regarde Et que l'amour t'attend, Toréador, L'amour, l'amour t'attend ! L'amour! L'amour ! L'amour ! Toréador, Toréador, L'amour t'attend