Áve, María, grátia pléna; Dóminus técum: benedícta tu in muliéribus, et benedíctus frúctus véntris túi, Iésus. Sáncta María, Máter Déi, óra pro nóbis peccatóribus, nunc et in hóra mórtis nóstrae. Ámen.
Le livre de la vie, est le livre suprême! Qu’on ne peut ni fermer, ni rouvrir à son choix; Le passage adoré ne s’y lit qu’une fois. Mais le feuillet fatal se tourne de lui-même; On voudrait le fixer à la page où l’on aime! Et la page où l’on meurt est déjà sous vos doigts.
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Johann Sebastian Bach (1685–1750), »Das Wohltemperierte Klavier: Praeludia und Fugen durch alle Tone und Semitonia«, Präludium und Fuge C-Dur (BWV846(a), 1722).
Charles-François Gounod (1818–1893), Pierre-Joseph-Guillaume Zimmermann (1785–1853), «Ave Maria: Méditation sur le Premier Prélude de Piano de S. Bach» (CG89a, 1853).
Alphonse Marie Louis de Prat de Lamartine, chevalier de Pratz (1790–1869), «Le livre de la vie» (1853).