Une vie pour croire, une vie pour voir, pour espérer. Un temps latent, attendre un jour, une éternité. Ma raison peut-être est d'y croire, Un signe, un geste, une lueur d'espoir.
Notre différence, c'est qu'on ne s'est jamais vanté de détenir une vérité. Cette passion, cette souffrance, ne sont que l'enchaînement des pièges qui attendent.
Jamais tu ne m'auras, jamais dans les caves sombres du mépris tu ne m'entraîneras, Où seule l'ombre me servira de lien, vers cette lumière qui s'éteint.
Tu la veux, tu l’attends, t'aimerais qu'elle soit innée, Qu'elle te saute aux yeux, qu'elle t'éclaire, mais rien n'y fait. Les cris, les larmes de cette souffrance, ce sont mes armes et ma démence.
Notre différence, c'est qu'on ne s'est jamais vanté de détenir une vérité. Cette passion, cette souffrance, ne sont que l'enchaînement des pièges qui attendent.
Une vérité détenue n'est pas bonne à enfermer, malheur à celui qui se voit la monnayer.
Tu as vu mon sang, tu as vu mes mains, les pièges tendus ne servent à rien. Jamais tu ne m'éteindras, jamais tu ne m'enterreras. Car je la connais. Une vérité ? La vérité!