Trop de bruit pour trop de nuits qui pensent Quand valse l'absence. Dans ce bal, ton silence est un cri qui fait mal. Je devines ton visage sur les ombres, les souvenirs sombres m'assassinent.
Je dors sur des roses qui signent ma croix. La douleur s'impose mais je n'ose pas manquer de toi dans mes nuits dans la pluie dans les rires dans le pire de ma vie.
Trop de bruit pour mon esprit qui tangue sur mes rêves exsangues, drôle danse. La mémoire est un puits de souffrance. Au-dessus de ton corps défendu, Mon amour pendu se balance.
Je dors sur des roses qui signent ma croix. La douleur s'impose mais je n'ose pas effleurer les choses écloses sans toi. Oh ! Ma rose, ne fane pas. Je manque de toi dans mes nuits dans la pluie dans les rires dans le pire de ma vie.
Je hais les roses autant que mes sanglots. La vie s'impose, je crois, à nouveau à mes rêves défunts. je veux enfin oser la fièvre du parfum des roses.