Et je me débats face à ce faux-moi qui me dit, qui me dit tout bas, prends bien garde à toi, arde à pas de leurres (?). Dés qu’il me dira, quand l’heure tournera, la vérité, la vraie raison, qui de nous deux l’aura, et pour qui ces pleurs. Qui ne croit donc pas ? Est-ce la vie qui bat ? Ou nos peurs, nos peurs incrustées comme de vieux malheurs qui résonnent en bémol majeur, qui façonnent le mur des erreurs ? Et nous revoilà, face à ce faux-moi, lui ouvrant grand nos petits bras, profusion ; que soit la lumière des cœurs.
Ne jamais taire, sa voix sincères, Epousés de l’intérieur, les bruits des ombres confortent nos peurs, Animées les joies qui meurent sous la raison, ce poison, sans douleur.
C’est alors qu’alors bat l’envie plus fort, innovant, attirant mon corps, l’homme à la vie, l’homme à l’ami qui dort. Bientôt sans remords, sans véto je crève, n’ayant pas entendu l’effort, proposé la trêve qui peut me sauver. Que me faudra-t-il, quel vaisseau fragile quittera, quittera la ville de mon inutile sacrifice, édifice mobile, enquête de trop lourds regrets ? Je préfère encore le goût du remord, du passé, passée toute entière, vie par-dessus bord, vers le monde que j’ai.
Ne jamais taire, sa voix sincères, Epousés de l’intérieur, les bruits des ombres confortent nos peurs, Animées les joies qui meurent sous la raison, ce poison, sans douleur.
Ne jamais percevoir sincères, Epousés de l’intérieur, les bruits des ombres confortent nos peurs, Ravivée la joie qui meurt sous la raison, ce poison, sans douleur. Epousés de l’intérieur, les bruits des ombres confortent nos peurs, Animées les joies qui meurent sous la raison, ce poison, sans douleur. Ce poison sans douleur.