Refrain: Je suis aux portes de l’extrême dans tous les sens du terme. Interne, externe, rap terne et sujet cerné. Je suis aux portes de l’extrême dans tous les sens du terme. Un serpent qui se faufile dans les bureaux du FN. Et dans ma tête je dépasse les limites de la FM. Je suis aux portes de l’extrême.
Je marche le long de mes pensées, mes idées m’aident à avancer. A tenir le coup, mes dents ont grincé. A l’idée qu’une mauvaise race existait. Un borgne comme chef qui nous empêche de résister. Moi je vais pas me désister, jusqu’à ce qu’il crève. Je vais insister, persister, tant qu’ils y seront pas resté. Tous ces crevards qui veulent "la France aux Français" Veulent pas partager, et ils veulent la saccager. Mais nous on va se propager parce qu’ils n’ont pas à diriger. Ils sont rien pour nous et ils veulent tout nous infliger. Propos indécents, choquant, plus hardcore que mon chant. Moi je déchire leur drapeau blanc, réduit leur assemblée à néant. Pour augmenter l’atmosphère se créant. Sous mon arme, mon stylo qui font sortir vos larmes. On vous rapproche de vos âmes et vous éloigne de vos lames. Je fais évoluer les mentalités et eux les dégradent. Si j’ai dépassé les limites, ils ont plusieurs tours d’avance. Je suis raciste qu’envers les cons. Mais aux yeux de la lois, les mauvais deviennent bons. La connerie humaine tournait en rond. Mais devient une course de fond où les fachos sont en première position. Rien que pour les faire chier, je courrais en sens inverse. Sans faire attention, Jean-Marie à Marine, vous faites le chaud. Mais tu vaux pas mes émanations, Sarko, de la loi. Tu connais que les variantes, c’est pas les règles d’un jeu. Que tu lis, mais les règles de la vie et de notre pays. Et tu y verras autant de couleurs qui existe de tes yeux ébahis. Le monde tu l’as trahis, refuse pas Mohamed ou Ibrahim. N’oublie pas que la Marseillaise est un chant de guerre et pas un hymne.
Refrain:
Assez, stop, on s’est trop vite lassé. De leurs discours racistes, ils ne font que les ressasser. Oubliant le passé, ce qui s’est vraiment passé. Avec le temps, ça les a de moins en moins tracassé. Ils critiquent les immigrés de foutre le darwah en France. Mais qu’on fait les Français dans leurs colonies, pas de chances. On me la fait pas à moi, vous appreniez aux Africains "Nos ancêtres les Gaulois" et il faudrait oublier ça. Qu’est-ce qu’il y a de positif là dedans, on est pas dedans là. Ils ont une dent contre nous, possédant tout ce qui est autour de nous. Dénoncent des situations irrégulière pour plaire, du coup. Ils relativisent, ils relatent et visent les banlieues. Provoquent leurs crises et au premier rang, y a plein de places assises. C’est l’espoir qu’ils brisent, l’espoir de vivre plus tard. Dans un monde où l’égalité et la liberté règneraient. Un monde où aucun être ne saignerait. Les comptes se règleraient simplement par la parole. Et où on condamnerait le racisme et ce qui nuit aux droits de l’homme. Chose que le FN oublie de souligner, qui est du bon et qui est du mauvais côté. Sous prétexte que les Musulmans font trop d’enfants. Les de Viliers s’en sont pas prié pour autant. Sautant du coq à l’âne de je-ne-sais quelle façon. Effaçons tout si nous le pouvons , sinon c’est le cataclysme que nous couvons Les fachos se couvrent entre eux, trouvant leur bonheur qu’après la mort d’un noir ou d’un bicot. Remettons les pendules à l'heure, le plutôt serait le mieux car trop c'est trop, le sang coule à flot. (Plus de place pour la suite)